Adjaout Mustapha

Adjaout Mustapha

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Mustapha Adjaout est enlumineur, miniaturiste, décorateur sur bois, céramiste, fils du chahid Ahmed Adjaout. Il est diplômé de l’école nationale des beaux-arts d’Alger (1964- 1969) et membre de l’union nationale des arts plastiques et secrétaire général de l’association des arts appliqués (Alger). il est né le 1er décembre 1948 à Beni-Ourtilane. Sa première œuvre intitulée « Enluminure » date de 1964. Sa première consécration, et pas des moindres, remonte à 1972, quand il obtient le Grand Prix des Arts et des Lettres.

«Je suis le produit de nombre d’écoles et de maîtres, seulement avec le temps, un style propre à moi s’est dégagé dans le domaine de la miniature et que certaine critique à bien accueilli » affirme t’il () Le style Adjaout est bien présent dans le décor artistique algérien et son immense talent est aujourd’hui connu et reconnu. Le faux plafond en bois peint, style berbère, du Salon V.I.P du salon d’honneur de l’aéroport international d’Alger a été réalisé dans ses ateliers.

« Le message transmis dans mes œuvres est celui de ma société. Je suis sur tous les aspects de la vie sociale algérienne, mais aussi sur mon environnement. Je m’inspire des bonnes traditions, des adages populaires. Mes œuvres s’identifient parfaitement à mon pays, ces traditions, sa culture et son histoire.».

En 1996, il expose au centre culturel algérien (CCA) à Paris, il est lauréat de plusieurs prix et compte plusieurs expositions individuelles, notamment, à Alger en 1971 et 1976, à Beyrouth, à Bagdad, à Tripoli (Libye), à Saïda (1974) et autant d’exposition collective.

En 2016, Mustapha Adjaout expose ses miniatures tourmentées au Musée Public National des beaux-arts d’Alger, « A travers ses miniatures, Adjaout exprime son amour pour son pays. Il dénonce, par ailleurs, toutes les formes d’oppression et d’injustice à travers une illustration de la fameuse citation populaire algérienne « hout yakoul hout » (le gros poisson mange le petit poisson), une scène faite entièrement d’arabesques en relief sur cartoline. Un autre tableau montre un gros serpent qui mange les «richesses» des paysans. L’abeille, peinte en 2016, est sa plus récente œuvre.» ecrit Kader B sur le soir d’Algérie

 

Prix et récompenses :
– 2e Prix de peinture de la Ville d’Alger (1969).
– 1er grand Prix des arts et des lettres d’Alger (1972).
– 2e Prix de la chambre de l’artisanat et des métiers d’Alger (2006).

 

 

 

 

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